Entrée libre mais églises vides. Rêves et réalité d’un pontificat à son crépuscule
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C’est à lui aussi que les quatre cardinaux avaient adressé leur cinq dubia sur l’interprétation d’Amoris Laetitia en lui demandant de “faire la clarté”. Ni lui, cardinal Gerhard L. Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, ni encore moins le pape n’avaient jusqu’à présent répondu à leurs questions. Mais à présent, le cardinal Müller fait toute la clarté, et comment ! Dans un entretien-fleuve publié aujourd’hui dans la revue “Il Timone”, il en profite pour critiquer au passage ces évêques qui, par leurs “sophismes” interprétatifs, plutôt que de guider leurs fidèles préfèrent “courir le risque qu’un aveugle conduise un autre aveugle”.
Enfin un vademecum comme on l’attendait pour éviter de se perdre dans les méandres de la tour de Babel des interprétations contradictoires d’Amoris Laetitia et surtout celles du controversé chapitre huit qui traite de la communion des divorcés-remariés. Clair et argumenté, cet ouvrage de référence a été élaboré au sein de cet institut pontifical que Jean-Paul II avait créé pour soutenir la pastorale de la famille et dont le siège central se trouve à Rome à l’Université Pontificale du Latran. Cet institut dispose d’antennes dans le monde entier et son premier président et promoteur fut Carlo Caffarra, archevêque émérite de Bologne et cardinal.